• Celui qui partait en vacances...

    Voilà, la semaine se termine enfin.
    Le temps est venu pour moi de vous quitter pour un petit moment. Un break qui devrait faire du bien... un peu de calme... l'occasion de réfléchir un peu à de nombreux sujets...
    Nous devrions nous retrouver le samedi 9 sur Paris, pour une pièce de théâtre. Je vais m'occuper aujourd'hui de l'achat des places.
    J'appellerai Lutin dans la semaine pour donner les règles du jeu et fixer l'heure de nos retrouvailles.
    Je serai injoignable toute la semaine... peut être répondrais-je quand même aux textos.
    Espérons le beau temps !
    J'emmène Mon Lillou, ça va être qqch avec Tess pendant une semaine...

    Prenez soin de vous...


  • Commentaires

    1
    Reine de tes nuits
    Vendredi 1er Avril 2005 à 14:18
    Peur de rien blues
    Bon ok nous n'avons pas ete tres gentils et avons manqué d'enthousiasme pour repondre a tes bloggs sur kylie, mais là tu vas trop loin et tu commences à m'inquieter serieusement ! Alors mon appart n'est pas tres grand et je n'ai qu'un lit (hum 1 seul lit pour deux...) mais au lieu de deprimer tout seul, je te propose de se remonter le moral a deux. Je t'attends mon coeur et vite !!!
    2
    Nicoco
    Mercredi 6 Avril 2005 à 13:42
    toujours triste
    Hello Geo! Passes une bonne semaine Geo. C'est pas cool de ne pas pouvoir avoir de tes news, mais bon tampi on ne peut pas t'obliger à nous répondre. Je vois que ta reine des nuits ne rate pas une occasion pour passer une nuit avec toi; quelle cochonne!! (comme toutes les reines des nuit...) lol, lol, lol. A bientôt Geo.
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    3
    Nicolas
    Vendredi 8 Avril 2005 à 15:49
    Les absents ont toujours tort ...
    Absence, Absence, Absence, ô cruelle divorce de Christofle de BEAUJEU, né en 1550, mort en ? - Absence, Absence, Absence, ô cruelle divorce - Pitié des affligés, maison d'obscurité - qui ruine tout le monde, et dont l'autorité - Fait de nouveaux enfers, connaissant bien sa force - ... - Pourquoi, hélas pourquoi, ô misérable amorce - De mes soudainetés, as-tu précipité - Mon coeur sur tous les coeurs, amoureux éventé - Indomptable et lointain, et qui n'a que l'écorce ? - ... - Las ! au moins si j'avais pour augure l'étoile - La Déesse suante avecques ce gris voile - Et fraîchement rompu des machines de bois - Ou que les vents plus forts sur la mer agitée - M'apportassent le nom, ou le son de la voix - De Madame, j'aurais ma fortune tentée.
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